Garda vend sa division de vérifications préemploi, Étude sur le bénévolat, Employés stressés, Directeurs des SI, entreprises canadiennes engagées

 

ScreenHunter_167-Apr-24-16-44-1.jpgLa Corporation Financière Champlain (CFC) a acheté la division des services de préemploi de Garda, pour un montant qui n’a pour le moment pas été divulgué.

Avec une centaine d’employés au Canada, GPE (Garda Pré-Emploi)  est actuellement le chef de file de son industrie au pays et dessert 1500 clients en proposant la vérification de dossiers de crédit, de référence, d’attestation d’études et professionnelles, d’évaluation psychométrique.

Confiant dans le marché du préemploi, le nouvel acquéreur souhaite continuer de faire grossir cette division en recrutant notamment de nouveaux clients et en proposant des services connexes à l’embauche. CFC a pour cela prévu d’investir afin d’amener la division « a un autre niveau ».

Source : la Presse – 23 avril 2013

Une étude sur le bénévolat des travailleurs

Statistique Canada a mené une étude sur les habitudes des Canadiens en matière de bénévolat. Il en ressort qu’en 2010, environ un travailleur à temps plein sur cinq âgé de 25 à 54 ans faisait du bénévolat cinq heures par semaine au plus. Parallèlement, environ un tiers des travailleurs à temps partiel et un quart des demandeurs d’emploi ont effectué le même nombre d’heures bénévolement. La flexibilité a également une influence : parmi les travailleurs à temps plein, ceux qui ont des horaires flexibles ou ont l’occasion de travailler de chez eux de temps en temps ont été 6 % à faire du bénévolat, contre 18 % chez ceux qui ne bénéficient pas de la même liberté. Enfin, l’étude identifie un dernier facteur important : le temps de trajet entre le lieu de travail et le domicile. Ceux qui vivent plus près de leur lieu de travail sont plus susceptibles de consacrer du temps au bénévolat.

 

9 employés sur 10 plus stressés qu’avant la crise

92% des employés estiment que leur lieu de travail est plus stressant qu’il y a cinq ans, d’après un sondage mené par Right Management auprès d’environ 600 personnes aux États-Unis et au Canada. Une constatation qui s’explique en grande partie par la situation économique : les entreprises attendent plus de leurs collaborateurs qu’il y a cinq ans, d’autant que les effectifs ayant été réduits, les salariés sont moins nombreux pour obtenir les mêmes, voire de meilleurs, résultats. La réduction des opportunités d’évolution ainsi que des initiatives en matière de formation font également partie des éléments participant au stress renforcé des salariés à l’heure actuelle. Le fait que les gestionnaires se trouvent aussi sous pression et essaient d’obtenir d’autant plus de leurs équipes n’aide pas la situation.

 

Les directeurs des systèmes d’information travaillent en dehors des heures de bureau

Selon une enquête de Robert Half Technology, près de la moitié des directeurs des systèmes d’information gardent le contact avec leur travail en dehors des horaires de bureau. Ainsi, 26 % des répondants ont avoué se connecter souvent les soirs et fins de semaine et 21 % assez souvent. 23 % travaillent rarement les soirs et fins de semaine, et 30 % jamais. Pour limiter le besoin de travailler pendant ces moments qui devraient être consacrés à la vie personnel, Robert Half Technology propose 4 pistes : identifier les priorités par les "plus" (ce qui permettra d’économiser le plus d’argent, de générer le plus de chiffre d’affaires, d’attirer le plus de nouveaux clients) ; être réaliste concernant les ressources en interne ; éviter la microgestion en laissant les équipes s’occuper des détails ; et enfin respecter le calendrier des autres en n’imposant pas de réunions inutiles par exemple.

 

Les entreprises canadiennes restent engagées

85 % des entreprises canadiennes ont maintenu, voire augmenté, leur budget d’investissement communautaire, et ceci malgré le climat économique incertain des cinq dernières années, révèle une étude du Conference Board du Canada. Outre des raisons historiques, puisque ces investissements sont considérés comme une tradition par la plupart des entreprises, l’impact sur la réputation de la compagnie explique en partie cette motivation. 38 % des entreprises interrogées ont d’ailleurs mis en place un programme dédié à l’investissement communautaire. 

 

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